Week-end royal
Ils aiment la galette
Savez-vous comment ?
Quand elle est bien grasse
Avec la fève dedans
Tralalala lalalalèreuh
Samedi, nous avons mangé la meilleure galette de Colombes qui concourt pour la meilleure galette de France.
Et dimanche, nous avons mangé la meilleure galette de France, la mienne !
Trop bonne ta galette, Tata !
Encore !
Yeah !!!
Vous vous demandez où est Malourène. Elle a dédaigneusement ignoré ma galette pour manger une pauvre petite clémentine...
L'écharpe de Tonton Nounouille
La Mère Noël s'était plantée dans le nombre de pelotes de laine. Il n'y en avait pas assez... parce que Tonton Nounouille est grand et un peu gros, il en fallait de la matière ! Elle était obligée d'en recommander.
Voilà Tonton Nounouille ta nouvelle écharpe. J'espère qu'elle te plaira, qu'elle te tiendra chaud, qu'elle ne te piquera pas... sinon, passes à ta chérie ou bien utilises-la pour descendre les poubelles... mais surtout... ne t'en sers pas pour astiquer tes avions car elle est faite en alpaga (c'est un peu comme du poil de bourse de bébé lama) !
Voilà une robe que je mettrai !
1er janvier
Jeudi 1er janvier 2009... levés 6h30, température extérieure -4°, ciel grisâtre... Une belle journée pour une virée au "Jardin d'amatation" !
Un parc ouvert et désert, des manèges pour nous tout seuls, des chevauchées sauvages, le clown Arny champion du monde de sculpture de ballons, des frites, des macarons et des bonbons à volonté...
Sablés
Depuis qu'elle a l'âge de Malou, Tata Lili fait des sablés... à Noël, aux anniversaires, pour les goûters du dimanche, à la demande générale ou celle particulière de Malourène. La recette est tirée de ce livre - que dis-je ! cette bible ! - et a été consciencieusement recopiée par moi sur le blog des Pious-Pious.
Aujourd'hui, pour inaugurer les beaux ustensiles de cuisine reçus à Noël par Malou, nous nous sommes lancées dans la fabrication des fameux gâteaux de Tata Lili.
Surtout que moi, ça n'a jamais été mon truc. Il faut de la patience pour des sablés ! J'étale la pâte, je tamponne avec des emporte-pièces, je re-étale la pâte (pas de gachis), j'enfourne, je refais des formes et je re-enfourne... Bref, il faut une patience que seule Tata Lili possède. En plus, il faut mettre les mains à la pâte et j'ai toujours eu horreur d'avoir les mains sales, contrairement à Tata Lili...
Donc, maintenant que j'ai un robot qui pétrit et une aide cuisinière...
On était bien parti, on avait un bon rythme... Et puis, ça a dérapé quand j'ai suggéré de décorer nos oeuvres. J'ai sorti les "petits raisins"... On a décoré un ours, une étoile, un coeur...
Et puis plus rien... plus de petits raisins... Malourène les avait tous mangés !
Il a donc fallu passer au plan B et sortir le chocolat en poudre et les fruits confits pour sauver la face des sablés...
BONNE ANNEE !!!