Dernière rando
Nous avons la chance d'avoir fait une belle balade en compagnie de Christian et Babette, des Mondoriens grands connaisseurs de la montagne et du Sancy, qui nous ont fait passer par des sentiers peu connus et peu fréquentés.
Oui, on a emprunté ce chemin... ☝🏼
On a pique-niqué au bord du ruisseau, au-dessus de la Grande Cascade et on a taquiné la truite...
Si on n'a rien attrapé, on est tombé dans un champ de myrtilles, qu'on a cueillies et mangées sur place.
Et traquillement, on est redescendu en passant par la Grande Cascade (et même derrière)
Pour finir chez Mimi, manger des crêpes à la myrtille et boire un chocolat chaud...
Le Puy Gros
La balade d'aujourd'hui nous a achevés... 10 km en 3h30 et 540m de dénivelé !
Tout ça pour accéder au plus beau point de vue sur le Mont-Dore et sur le cirque du Sancy...
On n'a pas eu la vue, mais on a fait une belle balade, typiquement auvergnate : burons (cabanes des vâchers en pierre dans les pâturages), escabeaux pour traverser les champs de vaches, les genêts et les gentianes...
Entre le Puy de Chantauzet et le Puy Gros, on a cru être perdus et mourir de froid, sous une pluie verglaçante et un vent cinglant...
Mais on a survécu, grâce aux madeleines à la framboise de la Biscuiterie du Sancy !
On l'aura mérité notre chocolat chaud chez Mimi ! Après une petite pause...
Le Capucin
aujourd'hui, nous sommes partis à la conquête du Capucin...
Pour monter, on a pris le funiculaire, le plus vieux de France (1898)
Une fois en haut, on avait une bonne heure de marche pour atteindre le sommet.
Avec notre cabri toujours devant...
On a grimpé et sué, mais nos efforts ont été récompensés...
Et après une descente plutôt longue, on s'est arrêté - obligés - chez Mimi pour un bon chocolat chaud et une (deux) crêpes à la myrtilles...
Journée à la ferme
Le climax de notre séjour auvergnat, c'est, bien sûr, la visite de Saint-Nectaire... pas l'église (même si j'ai obligé la troupe à y faire un tour), mais la ferme Bellonte, producteur de saint-Nectaire fermier.
D'abord, on assiste à la traite d'une centaine de vaches, qui portent toutes un prénom (et qui le connaissent !).
Et comme on a rencontré un fermier super sympa, on a même goûté au lait quasi aux pies de la vache...
Verdict, Malou ?
Bref, on était au paradis !